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Le directeur musical / fondateur des Musiciens du Louvre réunit dans un même programme les trois dernières symphonies de Mozart. Un chef-d’œuvre !

Le regretté chef d’orchestre Nikolaus Harnoncourt qualifiait les trois dernières symphonies de Mozart d’ « oratorio instrumental ».  Les 39e, 40e et 41e forment une trilogie d’une beauté sidérante, tant dans la construction formelle que dans l’invention instrumentale. Chacune a sa particularité : l’esprit viennois pour la 39e, la mélancolie (la 40e) ou encore la majesté (la 41e surnommée à juste titre « Jupiter »). Marc Minkowski n’a pas son pareil pour restituer l’éclat théâtral de ces partitions, faisant de chaque instrument le personnage d’un opéra sans texte. Les Musiciens du Louvre, avec leur timbre caractéristique, chaud et coloré, trouvent toujours le ton juste. L’emploi des instruments anciens permet d’entendre le son d’origine. Un délice.