Informations pratiques

Préparer votre venue

Réseaux sociaux

Le Chant du cygne, c’est cette ultime parole que l’artiste livre avant de se taire à jamais. Un nom poignant, donné à titre posthume, au dernier cycle de lieder de Franz Schubert, Schwanengesang, chef-d’œuvre à la fois lumineux et crépusculaire.

Après le succès de leur interprétation de Winterreise, Victoire Bunel, Jean-Christophe Lanièce et le pianiste Romain Louveau poursuivent leur exploration du répertoire de Schubert en s’emparant de cet ultime recueil, édité quelques mois après sa disparition, en 1828. Renouvelant la forme habituelle du récital, les deux interprètent chantent en alternance les mélodies, dont les poésies ont été traduites par le dramaturge Antoine Thiollier. On se demande s’il s’agit d’un couple qui regarde tomber la neige par la fenêtre en parlant de la vie, ou de deux amants qui reviennent sur leur histoire au crépuscule de l’amour, ou du dialogue intérieur d’une personne à la croisée des chemins. C’est un échange à la fois poétique et philosophique entre deux voix qui expriment de multiples façons de regarder le temps qui passe. Un concert qui est aussi l’occasion de plonger dans l’un des plus grands cycles de Lieder du répertoire

Programme

Œuvre originale de Schubert (1828)

Distribution

Antoine Thiollier
traduction
Victoire Bunel
mezzo-soprano
Jean-Christophe Lanièce
baryton
Romain Louveau
piano

Générique

  • Musique

    Schubert

  • Texte Ludwig Rellstab

    (traduction Antoine Thiollier)

  • Conception et dramaturgie

    Antoine Thiollier

Mentions