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Deux chorégraphes et trois solos : la relève de la danse hip-hop et contemporaine est assurée. Amala Dianor et Leïla Ka dialoguent à distance sur la scène de Grenoble. Alors on danse ?

Venu du hip-hop, Amala Dianor s’est ouvert à d’autres formes chorégraphiques, travaillant notamment avec Emanuel Gat, avant de fonder sa compagnie. En une poignée de pièces, il a imposé une danse sensuelle à la grammaire gestuelle aboutie. La preuve par Man Rec, « seulement moi » en wolof, aux frontières du hip-hop et des influences africaines. En écho, le solo Wo-Man, pour la danseuse Nangaline Gomis, vient amplifier l’onde magnétique de Man Rec. Comme un prolongement de ce dernier, Wo-Man met en lumières des racines plurielles. Leïa Ka est elle aussi issue de la bouillonnante scène hip-hop actuelle. Pode Ser, son solo multiprimé, nous parle, à travers le corps rageur d’une danseuse, de tout ce qu’on a été, les rôles qu’on a joués, certains assignés ; et de ce qu’on aurait pu être, peut-être ».

 

Man Rec
chorégraphie, interprétation Amala Dianor

Wo-Man
chorégraphie Amala Dianor
avec Nangaline Gomis

Pode Ser
chorégraphie, interprétation Leïla Ka